Le droit à l’alimentation est un droit de l’homme reconnu par le droit international. Il protège le droit de chaque être humain à se nourrir dans la dignité, que ce soit en produisant sa propre alimentation ou en l’achetant.
Le droit à l’alimentation n’est donc pas un droit à être nourri, mais la garantie du droit à se nourrir, qui ne requiert pas seulement que la nourriture soit disponible mais aussi accessible.
Si l’alimentation est un droit, sa réalisation est un devoir. Le droit à l’alimentation est indispensable à la réalisation des autres droits de l’homme et de la justice sociale. Afin d’y parvenir, les États doivent adopter des politiques cohérentes et adaptées, tant au niveau national qu’international.
En Afrique, SOS Faim soutient des organisations paysannes qui militent pour le droit des paysans et des organisations de la vie civile qui facilitent la participation citoyenne aux débats sur les politiques qui les concernent. Ces appuis sont d’autant plus importants que les libertés fondamentales sont de plus en plus bafouées dans les pays où SOS Faim appuie ses partenaires.
Au Luxembourg, SOS Faim mène un plaidoyer en ce sens auprès des décideurs au sein de différents collectifs dont les Amis de la Déclaration des Droits des Paysans (UNDROP).
Nos partenaires agissant au niveau des Droits
- ANOPER – Association Nationale des Organisations
- UACDDDD – Union des Associations et des Coordinations d’associations pour le Développement et la Défense des Droits des Démunis
- FONGS – Fédération des Organisations Non Gouvernementales du Sénégal
- Les Amis de la Déclaration de l’ONU sur les droits des paysans (ADDP Luxembourg)
- Votum Klima
- Initiative pour un devoir de vigilance
- Defenders.lu
- CGLTE-AO : La Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest