Agir, bien sûr, car ne rien faire est inacceptable quand 800 millions d’hommes, de femmes et d’enfants souffrent de la faim.
Avec, car le travail en partenariat est au cœur de notre action. Notre soutien permet aux paysans d’une douzaine de pays de réaliser des projets utiles.
Le Sud, évidemment, car c’est dans cette partie du monde que les besoins de développement sont les plus criants.
SOS Faim n’a pas attendu que 2005 soit « l’Année internationale de la microfinance » pour recourir à ce système.